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Deux extraits disponibles :

Allez viens... (1,25 Mo)

Promesses perdues (1,25 Mo)

Cliquez pour accéder directement aux paroles

1/ Tilititi

2/ F.D.M.Y.

3/ El Titanico !

4/ Allez viens...

5/ Ce qui va bien

6/ Wapiti

7/ Löft Störie

8/ Fermer la porte en grand

9/ Laetitia

10/ Baiser de Janvier

11/ Maintenant...

12/ Promesses perdues

13/ Tippp-Exxx

Bonus Track : Lourd ! featuring JeFF

Tilititi

S’envoler plus haut, écouter les cris des oiseaux

Sentir sur sa peau, ce souffle qui te pousse dans le dos

Ouvrir grand nos oreilles, les yeux tournés vers le ciel

Ca n’en vaut pas la peine, Alice au pays des merveilles

 

Sous cette chaleur, on ne pourra jamais plus se faire peur

Poker menteur, y gagner la clef du bonheur

Sauter sur les grands flots, cartes en jeu, le gros lot

Jouer le vrai ou le faux, tout ne repose plus que sur les mots

 

F.D.M.Y.

Il paraît qu’on dit souvent,

Qu’il vaut mieux rester indifférent à toutes ces choses qu’on entend

Finies les histoires pour enfant, qu’on me racontait tendrement,

Maintenant je suis devenue grande

 

Je ne suis pas celle que le monde attend, j’espère juste être appréciée des gens

Je ne crois pas qu’on puisse changer en chantant, on peut juste faire passer les sentiments

 

Une nuit profonde s’est installée,

Moi je ne vois parmi les ombres que le brillant de tes grands yeux

J’ai l’impression que tout est bien, à la vue de ton sourire, de ta main posée sur ma main

 

 

El Titanico !

Me acoste aquella noche, probando comprender, porqué las cosas se quedan asi

Tu eres como la belleza, que nunca se puede ganar, pero que si se puede perder

Lo que espero de ti, nada mas que la fe, la fé de ver un dia eso acabar

Lo que espero de ti, no es nada facil, nada facil

 

Cuando te fuiste toda la semana, me senti fatal

Suplicando el cielo, si me respondera tu lo sabras

He comprendido que tu nunca vuelveras aqui, sin una ultima sonriza

En un caos de colores, un dia te encontre, y fue como un relanpago

Cerre los ojos un poco perdido, de nuevo los abri, como puede una nina ser tan guay

Yo no veo en ti, nada mas que la fe, la fé de ver un dia eso acabar

Lo que espero de ti, no es nada facil, nada facil

 

 

Allez viens...

Aveuglée par la lumière du soir,

Oppressée, à ne plus vouloir croire

Encore un effort, il n’est pas trop tard

Réveille toi encore, un dernier regard, pour voir

Le bon côté des choses quon nous propose et qui tôt ou tard feraient notre histoire

 

Attirée par la lumière du soir

Obstinée, à ne plus vouloir croire

Encore un effort, il n’est pas trop tard

Réveille toi encore, un dernier regard, pour voir

 

Allez viens, prends ma main, je t’emmènerai loin

Allez viens, tous les deux, ensemble on verra la fin

Je t’aimerai toujours, à la vie à l’amour

 

Délivrée par l’éclair du noir

Réveillée par le plus grand des hasards

Encore une étoile, il ne fait pas trop noir

Tirer une morale de toute cette histoire, faut voir

Quel bon côté des choses on nous propose

Et qui dès ce soir prouverait notre histoire

 

 

Ce qui va bien

Couchée les yeux ouverts, sur un matelas dépoussiéré

A la vie comme à la guerre, comme dans un conte de fée

Qu’était-il advenu, de tout ce que j’avais vu

Qu’était-il arrivé, de tout ce que j’avais fait

 

Qui pourrait me dire ce qui va bien,

Qui pourrait me dire ce qui va mieux

Qui pourrait me dire ce que je deviens,

Qui pourrait me dire pourquoi je suis vieux

 

J’ai toujours pensé, qu’on ne pouvait pas revenir en arrière

Qu’on pouvait juste oublier avec l’aide d’une cannette de bière

Les boutiques sont dépassées, courons tous au supermarché

Même quand y’a plus rien à manger, il reste toujours du surgelé

 

C’est fou ce que l’on s’aime, c’est fou ce que l’on s’est aimé

Peut-être avions-nous la flemme, le peur de s’étouffer ?

J’ai vu des gens s’envoler, vers le pays des fées,

Moi je me sens comme enfermée, dans un paquet mal conservé

Je ne suis plus rien, il ne me reste plus qu’à crever

Même plus un morceau de pain, comment faire pour subsister ?

J’ai combattu la vie, j’ai perdu la partie

Au moins j’aurais essayé, ça vaut mieux que de tout gâcher….

 

 

Löft Störie

 

Entering the sun from a dusty rain

Starting to feel safe, beginning to ask for more

There’s no need to lie, I understand your life

I am not the same, won’t you explain me why ?

 

I can’t change your mind

I wonder is it that you’re fighting for

You cry for me and then you ask for more

 

Through the window of my room

I can see your sky shining

Getting back to all these beautiful things That make you happy

 

If you could change your mind

You could do what you want to

 

Your body gets admired,

You don’t know which way to go

As your soul is in fire,

You’re searching for the north

Would it make you feel much better,

If it was you against the world

If you were an alien, or if it was conspiracy

 

 

Fermer la porte en grand

 

On m’a toujours pardonnée, comme un poignard ensanglanté

Ces douces promesses oubliées quand à ma mère il en parlait

Vous pourriez croire que dans la nuit noire, toute seule allongée je pleurais

Mais mon plus grand des désespoirs, ce sont les portes du passé

 

Aurais-je seulement espéré, avoir simplement tout imaginé

Ces soirées, toutes ces plaies qu’on ne pourra jamais effacer

Me restant qu’une seule clef pour pouvoir me cacher

 

Enfermée à jamais, dans les mots d’une histoire, je ne peux plus rêver

Avec tous ces cauchemards qui envoûtent ma mémoire

Noyer ces années dans ces paroles dérisoires que je peux vous chanter

Qui reflètent ma vie comme un miroir

 

Ne rien penser ne jamais pleurer garder en soit ses sentiments

Derrière les sourires les vrais raisons, mieux refermer la porte en grand

 

 

Laetitia

Un chemin perdu au milieu des étangs

Dans un champ balayé par le vent

Une enfant montée sur un grand cheval blanc

Des rayons dans ses longs cheveux blonds

Ses parents à la recherche d’une solution

Pour trouver ce qu’il leur faut d’argent

Si souvent, ils s’absentent de la maison

Oubliant celle qu’ils aiment tant

 

Et elle pleure pourquoi le monde est-il si mauvais ?

Elle voudrait en finir avec sa jeunesse

Travailler pour gagner ce qu’elle mériterait

Ou au moins essayer pour que le mal cesse

 

Comme vivent les grands….

 

Chez les grands, on agite un grand drapeau blanc

On se bat, pour un oui pour un non

La vraie vie, une fois qu’on l’a touchée du doigt

C’est fini, on ne s’échappe pas

 

Notre terre, maintenant dominée par les billets verts

Et si tu n’en as pas tant pis pour toi

Ne crois pas en les autres ils ne t’aideront pas

Galérer tout seul à quoi ça sert ?

 

Au moins les enfants croient les légendes que leur racontent leurs parents

Au moins les enfants sont différents

Au moins les enfants pénètrent leurs rêves dès qu’ils referment leurs paupières

Au moins les enfants sont innocents

 

 

Baiser de Janvier

 

Un baiser enlacé, une fleur tatouée,

Un visage qui se ferme pour pouvoir mieux pleurer

Une histoire comme un frein, le sourire du destin,

Une tête que l’on baisse quand on vous tend la main

 

Vouloir quitter la terre, le désir de mourir

L’envie de partir quand il reste tant à faire

Voir l’avenir s’obscurcir, dans les yeux de sa mère

La peur de mal faire sans vouloir obéir

 

Une maison délaissée, la lumière allumée,

Les paroles blessées d’un poème déchiré

Coup de tonnerre entendu, un éclair à peine vu,

Le souffle de la lune qui éclaire les rues

 

Un matin de Janvier, une route enneigée

Vouloir à tout prix ce qu’on aura plus jamais

Une chanson soupirée, des enfants séparés

La fin d’une vie, le début des regrets

 

Un dernier rendez-vous, une prière et c’est tout,

Le cœur encombré d’un amour qui rend fou

Non merci à la vie, c’est bien cool les amis,

Mais ça ne peut plus rien quand tout est bien fini

 

Quand les rois de la glisse, sont au bout de la piste,

Que reste-t-il quand les regards sont tristes ?

Emmène-moi si tu veux, je peux jouer le jeu,

Pour le plaisir de mourir dans tes yeux….

 

 

Maintenant...

Maintenant, les sourires n’existent plus,

Des automates, les gens qu’on croise dans la rue,

Avancer à tâtons, méfiants, comme on marcherait dans le noir

Sans relever la tête, cachés, à l’abri des regards

 

Les imbéciles, qu’on va laisser derrière soi,

Les plus habiles, qu’on ne regardera même pas

Plus petit souviens-toi tu étais déjà le roi,

Moi je ne comprenais pas pourquoi les autres ne voulaient pas de moi,

 

Les marginaux et les troubadours ont disparu dès qu’ils t’ont vu,

On ouvre pas aux inconnus

 

La mort c’est tellement beau mais des trucs comme ça, ça ne s’invente pas

Et sous la pluie qui tombe je me rappellerai l’odeur des lilas

L’amour c’est tellement loin mais des trucs comme ça, ça ne s’oublie pas

Et tous ces murs de pierre qu’on construisait à tour de bras

 

Les dernières neiges, le départ des hirondelles

Toutes ces feuilles mortes, qu’on ramassait à la pelle

Ces petites histoires sans lesquelles la vie ne serait plus vraiment pareille

Qui changent rien, qui changent tout, dont tout le monde se fout…

 

Les vraies amitiés les faux amours, c’est terminé je n’attends plus

Je n’y crois plus, j’en ai trop vu

 

Mes meilleurs amis sont partis, d’autres sont revenus,

Et puis ils ont pris leur place comme si de rien n’était bien entendu

Recommencer, tout effacer, j’ai perdu l’habitude d’avouer mes inquiétudes

Toutes ces photos je les ai brûlées, sans même me demander

L’espace d’une seconde si ça valait la peine de les regarder

Si j’ai bien fait, aucune idée, de toute façon dans quelques jours je t’aurai déjà oublié

 

Les murs de pierre, sans quoi on avance pas

Dans la lumière, on voit moins bien comme ça

S’envoler vers la mer, on est bien mieux là-bas

Ecouter les prières, histoire de croire qu’on y croit

 

 

Promesses perdues

 

A corps perdu sans un bruit

Je suis sans cesse à la merci de mes envies

Cherchant toujours l’infini

Trouverai-je un jour celui qui guidera ma vie ?

 

Tout pour une lueur d’espoir

La liberté peut être difficile à avoir

Marre de rêver tous les soirs

A m’imaginer qu’il est possible de te revoir

 

Je n’ai jamais réellement cru en la vie

A ses promesses perdues

Si je pouvais enfin dépasser l’illusoire

Je serais si près du but

 

Et puis du temps a passé

Depuis je ne savais plus trop quoi espérer

Et puis tu es arrivé

C’était mieux, mais au fond rien n’a changé

 

Je ne comprend pas tous ces gens

Qui passent leur vie à s’aimer, assis sur un banc

Je ne veux pas perdre mon temps

On vit trop peu pour se comporter comme des enfants

 

 

Tippp-Exxx

Des années ont passé, je ne me souviens plus de rien

Même plus des baisers, quand je te tenais la main

Les amis du lycée, ceux que j’avais tant aimés

Eux aussi je les ai oubliés

 

J’avais pourtant promis de continuer à y penser

A l’époque j’avais prétendu que je savais

Mais le temps a tout effacé, cette nuit-là je crois que j’ai pleuré

 

Je me suis replongé dans les albums photos

J’ai reconnu Olivier, Stéphanie et Renaud

Qui savait que je ne les reverrais jamais ? Cette nuit-là je crois que j’ai crié

 

Le temps emporte tout, à notre plus grand dégoût

Le temps emporte tout, nos plus tendres années

Qu’on aurait tant voulu garder, près de nous….

 

Que se passe-t-il pour vous ? Est-ce que vous y pensez ?

Est-ce que vous vous demandez pourquoi nous nous somme quittés ?

A quoi ça sert, si on peut plus partager ?

Est-ce que vous aussi ça vous arrive de pleurer ?

 

Nous nous sommes tant amusés, mais nous n’avons rien laissé

Rien qui pourrait montrer, qu’au moins on se connaissait

Ce serait bien, de se revoir une dernière fois

Je suis sûr qu’on a à se raconter

 

Tu te souviens quand Julien avait crevé le pneu de la prof de français ?

De tous les petits mots, des coucous qu’on s’écrivait ?

Des cours d’Histoire-Géo, de la prof de bio ?

Moi je n’ai pas oublié…

 

 

Lourd !

 

Lourd !